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Manuel du savoir-faire à l'usage des geeks et des curieux
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dimanche 16 janvier 2011

Citation no. 116 sur le casque protecteur au hockey

Publié par Infinite Loop, à 07 h 52 1 commentaire

Lorsqu'il s'est fait demander par un journaliste pourquoi il portait un jock strap mais pas un casque, le joueur de hockey Bobby Orr aurait répondu :

Je peux toujours trouver quelqu'un d'autre pour penser à ma place.

- Bobby Orr
[source]

Ce qui a été confirmé par un autre joueur, plusieurs années plus tard :

J'peux pas toujours avoir un casque sur la tête.

- Vincent Damphousse
[source: annonce pour le shampooing Head & Shoulders + parodie de RBO]


Tags: Citations

mardi 11 janvier 2011

Toc toc toc, qui est là ?

Publié par Infinite Loop, à 20 h 09 0 commentaire

Déjà en partant, si vous êtes arrivés ici en cherchant pour l'émission pour enfant Toc Toc Toc, vous n'êtes pas à la bonne place. Mais restez, ça pourrait vous intéresser! Pourtant, il n'est ni question de Mr Toc, la marionnette de South Park, ni de Super Tock, un jeu qu'affectionnait particulièrement ma grand-mère...

Pour aujourd'hui, je voulais vous entretenir d'une banalité de la culture populaire dont la plupart ignorent l'origine : la rythmique qu'on utilise lorsqu'on cogne à une porte pour faire savoir son arrivée : TOC toc toc TOC TOC, TOC TOC! Comme dans cet extrait de voix de Roger Rabbit.

Cette rythmique, communément appelée "shave-and-a-haircut, two bits" a été documentée pour la première fois en 1899 dans l'enregistement audio At A Darktown Cakewalk de Charles Hale.

Plus tard, en 1914, Jimmie Monaco et Joe McCarthy l'ont repris dans Bum-Diddle-De-Um-Bum, That's It! puis en 1939, dans la pièce Shave and a Haircut - Shampoo de Dan Shapiro, Lester Lee et Milton Berle.

Fin de l'histoire. Maintenant que vous le savez, vous pouvez rester dans la thématique des portes avec une blague de knock knock de Achmed the Dead Terrorist de Jeff Dunham (toujours aussi drôle à chaque fois).


Tags: Musique, Saviez-vous que

lundi 10 janvier 2011

Montréal, la nuit

Publié par Infinite Loop, à 19 h 39 0 commentaire

Je n'avais rien à écrire ce soir. Mais j'ai vu l'image du jour sur le site de la NASA et j'ai voulu partager avec vous. C'est ma ville, la photo étant prise de nuit par l'ISS (station spatiale internationale).

Admirez.



On a rarement le privilège de la voir sous cet angle.


Tags: Montréal

dimanche 9 janvier 2011

Catalogue d'objets introuvables

Publié par Infinite Loop, à 10 h 37 0 commentaire

En 1969, Jacques Carelman, un Marseillais pourvu d'une imagination débordante, publia un catalogue d'objets introuvables (parce qu'insolites), pourtant indispensables aux personnes telles que : acrobates, ajusteurs, amateurs d'art, alpinistes, amis des bêtes et j'en passe. C'est ainsi qu'est présenté l'ouvrage.

Ce livre de poche est conçu sous forme de catalogue dont chaque objet surréaliste est accompagné d'un argument de vente humoristique pour nous convaincre du bien fondé de son existence et de son utilité. Il est idéal pour une lecture légère parce qu'il comporte beaucoup d'illustrations et peu de texte.

Depuis sa publication, ce classique a été traduit en 19 langues (l'édition que j'ai datant de 1994 indiquait 10 langues) dont le coréen, l'hébreux et le finnois. Plusieurs dizaines d'objets ont été réalisés en vrai et ont circulé à travers différentes expositions dans le monde.

Pour vous donner un aperçu de ce que vous y trouverez :

  • ciseaux à tranchant externe
  • la scie-balançoire
  • couteau de poche universel (quoi qu'on en ait vu un dans le film Gremlins)
  • globe terrestre pliant
  • tampon à empreinte digitale
  • machine à calculer simplifiée ou boulier électronique
  • chaise berçante latérale
  • cafetière pour massochiste (avec bec-versoir du côté de l'anse). D'ailleurs, l'idée a été retenue pour être utilisée en page couverture du très bon livre The Design of Everyday Things de Donald A. Norman
  • machine à raton-laveur
  • baignoire à portière (quel visionnaire, le rêve est devenu réalité!)
  • hameçon pour la pêche au requin (en forme de jambe)
  • puzzle à deux pièces (idéal pour les débutants inexpérimentés ou personnes dépourvues de patience)
  • cravate-slip
  • soutien-gorge de trapéziste
  • longue vue de voyeur (pour voir par les trous de serrures)
Le livre est aussi agrémenté de citations et de définitions placées en notes de bas de page dont l'auteur a tiré son inspiration pour créer ses objets. Par exemple :
  • Armure : vêtement porté par tous ceux dont le tailleur est un forgeron
  • Guillotine : couteau sans manche auquel il manque la tête
Comme c'est plutôt difficile à décrire, si vous appréciez l'absurde, prenez 10$ et allez vous le procurer. Et si vous savez où mettre la main sur le catalogue des timbres-poste introuvables (1972) du même auteur, faites moi signe. Il semble justement introuvable au Québec.


Tags: Curiosités, Livres

Citation no. 115 sur les anglais

Publié par Infinite Loop, à 08 h 20 0 commentaire

Un anglais, c'est un type comme nous, sauf qu'on ne comprend pas ce qu'il dit.

- Domitille de Pressensé


Tags: Citations

samedi 8 janvier 2011

Origine des noms de villes du Québec

Publié par Infinite Loop, à 10 h 04 0 commentaire

C'est en circulant sur l'autoroute que j'ai aperçu un panneau qui m'avait toujours apparu comme banal et sur lequel était indiqué la direction pour Bois-des-Filion. Comme ça m'arrive parfois de me questionner sur l'origine des mots, je me suis demandé : qui était Filion ?

Arrivé chez moi, j'ai assouvi ma curiosité en fouillant dans l'histoire de la ville :

Le premier Filion au pays était le descendant de Michel Feuillon, capitaine des mousquetaires du roi de France, Louis XIV, dit le Roi Soleil. Il est originaire du diocèse de Maillezais en Poitou en France. Le fils de Michel Feuillon et de Louise Bercier, Antoine Feuillon, menuisier de métier, immigra au Canada en 1684. Ne sachant ni lire ni écrire, il n’a pas pu corriger les manuscrits de l’époque où on avait écrit Filion au lieu de Feuillon, d’où l’origine du nom Filion. Antoine Feuillon dit Filion a reçu comme fief du seigneur Louis Lepage de Sainte-Claire de Terrebonne un bois d’érables situé aux confins de la seigneurie et au pied de la grande ligne de Sainte-Anne (Montée Gagnon). Ce bois d’érables acquit une popularité par le sentier qui le traversait, menant à la rivière où l’on pouvait passer à gué pour aller à la grande ville. On passait donc par le Bois de Filion.

De combien d'autres noms on ignore l'histoire ? Je me suis penché sur les noms des 10 plus grandes villes du Québec (selon la population) pour mettre fin (en partie) à mon ignorance.

1. Montréal
L'appellation Montréal a d'abord désigné la montagne, ensuite l'île et enfin la ville elle-même. C'est Jacques Cartier qui, en 1535, lors de son second voyage, utilise pour la première fois l'expression mont Royal pour baptiser la montagne.

Au XVIe siècle, royal se dit aussi réal, d'où la contraction de mont Royal donnant mont Réal ou Montréal, comme on l'utilise aujourd'hui.

2. Québec
Le nom "Québec", d'origine algonquine, était employé par certaines nations amérindiennes, soit les Algonquins, les Cris et les Micmacs. Sa signification était "là où le fleuve se rétrécit" et servait à désigner le rétrécissement du Saint-Laurent près de l’actuelle ville de Québec.

3. Laval
La ville du palindrome (se lit d'un sens comme de l'autre) et du Cosmodôme.

Le 15 janvier 1636, l'île Jésus, située au nord de Montréal, était concédée à titre de seigneurie aux Jésuites. Le Séminaire de Québec s'en portera acquéreur en 1680, après que le seigneur François Berthelot, secrétaire du roi, l'ait cédée à monseigneur de François de Laval en 1675, en retour de l'île d'Orléans.

4. Gatineau
Le nom Gatineau provient de la famille Gatineau, l'un de ceux-ci, Nicolas Gatineau sieur Duplessis (1627-1689), explorateur de la Nouvelle-France, ayant pratiqué la traite des fourrures sur cette rivière au XVIIe et XVIIIe siècles, qu'on avait pris l'habitude d'appeler "la rivière à Gatineau".

5. Longueuil
La ville qui prêta son nom à une coupe de cheveux à une certaine époque. Communément appelé "coupe longueuil" ou "mullet" en anglais (cet article sur la nuque longue de Wikipédia vaut aussi le détour).

Le nom de la ville vient du nom du village de Longueil, près de Dieppe en Normandie, d'où provient la lignée maternelle (Duchesne) de Charles Le Moyne (1626-1685), seigneur de Longueuil en 1657. C'est par erreur que la ville fut nommée "Longueuil" avec le second "u" au lieu de "Longueil".

6. Sherbrooke
Originalement connue sous le nom de Hyatt's Mill, elle fut nommée d'après Sir John Coape Sherbrooke (1764–1840), un militaire qui fut lieutenant-gouverneur de la Nouvelle-Écosse (1812–1816), puis gouverneur en chef de l'Amérique du Nord britannique (1816–1818).

7. Saguenay
L’hypothèse la plus répandue quant à l’origine du toponyme veut qu’il soit formé de deux éléments amérindiens SAGA et NIPI rendus par l’expression eau qui sort ou d’où l’eau sort.

8. Lévis
Dès les débuts de sa colonisation en 1647, le territoire reçut le toponyme Pointe-de-Lévy.

9. Trois-Rivières

En 1599, le capitaine Dupont-Gravé va le nommer : "Trois-Rivières" en raison d'une illusion créée par le delta formé par les îles.

10. Terrebonne
L'endroit tient son nom de la seigneurie de Terrebonne ou Terbonne, concédée sur les bords de la rivière des Mille-Îles en 1673 à André Daulier Des Landes (vers 1653-1715), qui lui attribue cette domination en raison de la fertilité des terres.

En plus de consulter les sites respectifs des villes, je me suis référé à la banque des noms de lieux du Québec. Allez jeter un coup d'oeil, c'est une base de données riche en informations pour découvrir l'origine des lieux, allant même jusqu'aux noms des rues et des parcs. Pour ma part, je suis très honoré d'avoir appris que j'habite désormais sur une rue nommée en l'honneur d'un illustre peintre québécois.


Tags: Histoire

jeudi 6 janvier 2011

Piège JavaScript no. 9 avec undefined

Publié par Infinite Loop, à 19 h 30 0 commentaire

Voici un autre piège à examiner tiré du quiz JavaScript.

var y = 1, x = y = typeof x;
console.log(x);
Que vaudra la variable x ?
  • 1
  • "number"
  • undefined
  • "undefined"
Comme toute bonne question à choix de réponse, en donner deux qui se ressemblent permet de brouiller les pistes comme il faut. Décomposons le problème :

Étape 1
var y = 1;
var x = y;

console.log(x); // 1
Étape 2
var y = 1, x = y = x;
console.log(x); // undefined
console.log(y); // undefined
Remarquez, typeof a été volontairement omis. L'assignation des valeurs allant de droite à gauche, on sait qu'on ne peut pas assigner x à y.

Étape 3

On pourrait en conclure que typeof x (qui est indéfini) vaudrait aussi undefined. Mais est-ce une valeur indéfinie ou la chaîne de caractères "undefined" ? La trace de Firebug permet de nous éclairer :
var y = 1, x = y = typeof x;
console.log(x);
console.log(y);
console.log(typeof x);
console.log(typeof y);


La bonne réponse est la valeur undefined (celle en string). Les exemples suivants illustrent la bonne utilisation des deux variantes :
var a; // undefined
if(a == undefined){
console.log('La variable a est indéfinie');
}

var b; // undefined
if(typeof b == 'undefined'){
console.log('Le type retourné est la chaîne undefined');
}


Tags: JavaScript

mardi 4 janvier 2011

libcaca pour voir les vidéos en ASCII dans un terminal

Publié par Infinite Loop, à 19 h 10 0 commentaire

Comme une odeur... de déjà vu.

Il n'y a rien de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid ; car c'est l'expression de quelque besoin ; et ceux de l'homme sont ignobles et dégoûtants, comme sa pauvre et infirme nature. - L’endroit le plus utile d’une maison, ce sont les latrines.

Ce n'est pas un hasard si ce passage de Mademoiselle de Maupin du poète Théophile Gautier (1811-1872) a été choisi pour expliquer l'origine du nom de la librairie graphique libcaca (compatible Linux, Mac OS X, Windows et DOS). Distribuée sous license Do What The Fuck You Want To Public License, on ne pourra remettre en question l'humour scato de ses concepteurs et qui ont su attirer l'attention.

Comme ça m'est arrivé lorsque je consultais la liste des drivers de mplayer (Ubuntu) avec la commande :

mplayer -vo help

En effet, voir le mot caca dans une commande m'a plutôt surpris. De ce que je comprenais, c'était pour offrir un moyen de voir une vidéo à partir d'un terminal en le convertissant en ASCII couleur. Je n'ai pas pu m'empêcher de le tester au banc d'essai.

Pour le faire vous-même, ouvrez un terminal et installez mplayer (ou compilez le vous-même) :

sudo apt-get install mplayer

Prenez une vidéo que vous avez sur votre poste. Moi, j'ai utilisé celui de la chanson Le Métro de Xavier Caféine que j'avais en format FLV. Lancez cette commande :

mplayer -vo caca "Le Métro - Xavier Caféine.flv"



Pour faire l'essai sans être en mode graphique, basculez en mode console avec la combinaison des touches CTRL+ALT+F1. Vous pourrez revenir au bureau avec Ctrl+Alt+F7.

Pas mal hein ? Il faut reconnaître que les programmeurs ont souvent un sens de l'humour bien particulier.


Tags: Club Vidéo, Curiosités, Linux

lundi 3 janvier 2011

Fonctionnalité manquante au Sony Reader PRS-650

Publié par Infinite Loop, à 21 h 19 0 commentaire

Quand j'ai magasiné pour mon livre électronique Sony Reader PRS-650 Touch, une des critiques sur les fonctionnalités manquante par rapport à d'autres était l'absence du Wi-Fi et de la technologie Text-To-Speech (TTS). Sans nécessairement ressentir le besoin d'utiliser ce dernier, je me suis posé la question sur ce que ça aurait pris pour ajouter cette capacité à l'appareil lors d'une future mise à jour du firmware. Après tout, il est muni d'une prise pour écouteurs et d'un système d'exploitation MontaVista Linux sur lequel on peut développer à l'aide de DevRocket pour Eclipse.

L'autre point qui m'indique une possible faisabilité est l'existence du projet PRS+ (GPL) dont l'auteur a déjà porté son code pour plusieurs modèles de liseuses Sony et qui songe à attaquer le PRS-650 lorsqu'il aura suffisamment de dons pour se procurer l'appareil pour des fins de tests.

Enfin, du point de vue purement théorique, l'utilisation du programme Festival sous Linux serait probablement l'outil qui rendrait possible l'ajout de la fonctionnalité text-to-speech.

Sauf qu'il y aurait deux inconvénients majeurs :

  • reconnaissance limitée au vocabulaire anglais (pour la prononciation)
  • lecture limitée aux fichiers textes (il faudrait d'abord extraire le texte des fichiers ePub, BBeB ou PDF)
Pour extraire automatiquement le texte d'un PDF, j'opterais pour l'utilitaire pdftotext :

pdftotext document.pdf

Cette commande aura pour effet de créer un fichier du même nom mais portant l'extension .txt. Sinon, le logiciel Calibre pourrait convertir un ePub ou tout autre format de livre électronique pour en extraire le texte sous forme de txt ou pdf mais ça devra être fait avant le transfert du fichier sur l'appareil.

Ensuite, une fois en possession du texte brut, il faudrait le faire lire par Festival. Il s'utilise comme suit. On entre d'abord dans festival :

$ festival

La première façon est d'entrer le texte à dicter, avec les parenthèses :

festival> (SayText "Hello, I'm a robot.")

Ou encore, par une ligne de commande :

$ festival --tts fichier.txt

Pour que le text-to-speech entre en fonction, on pourrait convertir en audio chaque phrase à la volée ou l'ensemble du document. Si ce n'est pas possible de l'envoyer directement en sortie aux écouteurs, il faudra peut-être passer par un fichier audio temporaire. Festival vient avec un utilitaire nommé text2wave qui permet de convertir le texte lu dans un fichier au format .wav :

cat fichier.txt | text2wave -o audio.wav
ou
text2wave -o audio.wav fichier.txt

Les spécifications du PRS-650 indiquent qu'il peut lire uniquement les formats audio mp3 et les AAC. Donc un .wav ne serait d'aucune utilité, à moins de le compresser en un format supporté. Lame serait parfait pour réaliser cette étape :

lame audio.wav fichier.mp3

À bien y penser, l'idéal serait de faire un petit programme wrap-up qui lirait le fichier et qui séparerait les phrases du texte pour les interpréter individuellement avant de les envoyer directement en sortie audio. Ou encore que le texte serait lu lorsqu'on le sélectionnerait par l'interface touchscreen. Festival n'offre pas nécessairement la meilleure voix pour écouter un récit (surtout quand on constate où est rendu AT&T Labs avec la recherche en matière de TTS) mais le concept est là. Peu importe le résultat, je me suis amusé et ça m'a permis d'explorer et de découvrir quelques outils pratiques sous Linux. Maintenant, il ne me reste qu'à attendre de recevoir mon Reader Touch pour pousser plus loin mes recherches.


Tags: Coffre à outils, Linux

dimanche 2 janvier 2011

Les entreprises qui maganent le français sur le web

Publié par Infinite Loop, à 14 h 49 2 commentaires

On trouvait jadis des traductions françaises approximatives sur des produits asiatiques achetés chez Dollorama ou les grands magasins à rayons. Ça m'a toujours amusé. Je peux comprendre qu'une petite entreprise dont le français n'est pas la langue d'affaires principale ne peut se payer un service de contrôle de la qualité pour la traduction. On pourrait aussi, avec raison, l'attribuer à tort aux services de traduction automatique plutôt qu'à des erreurs d'inattention.

Pour un blogue ou une PME, c'est presque pardonnable parce qu'on ne s'attend pas nécessairement à ce que la qualité du français soit impeccable ou à un niveau journalistique. Mais pour une multinationale ou une entreprise qui engendre des profits faramineux, couper dans les dépenses du service de traduction et ne pas accorder un souçi de la langue de sa clientèle m'insulte un peu.

Je ne suis pas un expert de la langue française mais comme c'est ma langue maternelle et qu'elle me tient à coeur, ce sont des choses qui ne sautent constamment aux yeux.

Le site Amazon.ca avait pris plus d'un an à corriger la mention "En savior plus" alors que du côté de Canada 411, c'était encore plus frappant : Veuillaz entrer uniquement des caractètres numériques pour effectuer une recherche par no de téléphone. Cette phrase amochée était restée longtemps en ligne pour finalement être ajustée plus récemment.

Juste tout à l'heure, je suis tombé sur deux autres perles d'inattention. Le premier indiquant sur le site de Sony Canada l'entête en gros caractères : MagaGinez le dernier cri.



Et dans le coin inférieur droit : Offres spéciales "magasinez maintenant pour les offres grand" en guise de traduction pour "Shop now for great new deals".

Du côté de Future Flop, c'est la catégorie "Codres à guitare basse" qui brille par l'inversion des lettres dans l'orthographe.



Si vous souhaitez en consulter d'autres, la chronique Hein? du magazine Protégez-vous recense les plus belles perles du français.


Tags: Curiosités

Citation no. 114 sur l'éducation

Publié par Infinite Loop, à 10 h 25 0 commentaire

L'éducation, dans la vision courante, consiste à essayer de rendre l'enfant conforme au type d'adulte de la société à laquelle il appartient. Tandis que pour moi, l'éducation consiste à faire des créateurs, même s'il n'y en a pas beaucoup, même si les créations de l'un sont limitées par rapport à celles de l'autre. Mais il faut faire des inventeurs, des novateurs, pas des conformistes.

- Jean Piaget


Tags: Citations

samedi 1 janvier 2011

Calcul pour obtenir 24 avec 5, 5, 5 et 1

Publié par Infinite Loop, à 10 h 08 5 commentaires

Voici un petit défi mathématique pour vous ramener à la réalité (ou vous achever) suite à votre party du nouvel an. Essayez d'obtenir la valeur 24 en utilisant une seule fois les nombre 5, 5, 5 et 1. Les opérations autorisées sont : addition, soustraction, multiplication et division.

Essais :

  • 5 + 5 + 5 + 1 = 16
  • (5 x 5) + 5 - 1 = 29
  • (5 x 5) - 5 + 1 = 21
  • (5 + 1) x 5 - 5 = 25
  • (5 - 1) x 5 + 5 = 25
Visiblement, on pourrait poursuivre longtemps sans réussir si on s'en tenait qu'aux entiers. Heureusement, ce n'est pas une contrainte spécifiée dans l'énoncé du problème.

La solution :

Étape 1 : 1 / 5 = 0,2
Étape 2 : 5 - 0,2 = 4,8
Étape 3 : 4,8 * 5 = 24

Équation finale : ( 5 - (1/5) ) * 5 = 24


Tags: Mathématique

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