lundi 8 mars 2010

Retour sur la 1ère édition de Ignite Montréal

Je n'avais pas eu le temps de faire un retour sur la première édition de Ignite Montréal à laquelle j'ai assisté mardi dernier (2 mars 2010) qui se tenait à La Sala Rossa (à ne pas confondre avec La Sala Rosa, le restaurant nommé avec un seul S et qui se trouve dans le même building).

Montréal était un des nombreux endroits (plus de 50 villes) où se tenait un événement dans le cadre du Global Ignite Week. Le concept est de présenter une passion personnelle ou professionnelle en respectant la devise : "Illumine-nous, mais fait ça vite" (Enlighten us, but make it quick). Donc des présentations de 5 minutes, 20 diapositives qui défilent pendant 15 secondes chacunes et peu de chance de s'ennuyer. Bref, assez semblable aux Pecha Kucha.

Étant un peu d'avance dans le secteur, j'en ai profité pour passer à la micro-brasserie artisanale Dieu-du-ciel! et déguster une Nativité Blonde en compagnie du maire Foursquare de la place (mais jusqu'à quand ?).

À l'ouverture des portes, nous nous sommes rendus à la salle pour espérer avoir une bonne place mais comme j'ai jasé avec des gens que je connaissais, les places assises sont disparues assez vite.

Notre première constation fut qu'il y avait beaucoup plus d'anglophones que de francophones présents à cet événement. Comme dirait l'autre : ici aussi deux solitudes. Too bad pour les absents, ils ne savent pas ce qu'ils manquent. La deuxième constation : les billets coûtait légèrement plus chers en pré-vente qu'à la porte. Allez savoir pourquoi!

Alors pourquoi j'en reparle aujourd'hui spécifiquement ? Surtout parce que maintenant que les vidéos des présentations sont diffusées sur le web, ça m'épargne le travail d'avoir à les décrire. Profitez-en pour les visionner, surtout que les clips affichent à la fois les dispositives et le présentateur.

Pour ma part, les présentations qui ont retenu mon attention sont :
Cette dernière a été mon coup de coeur de la soirée. Elle a a vécu 466 jours dans les rues de Montréal et présentait avec humour son guide de survie. Quand tu es pris dans un cercle vicieux où pas d'adresse = pas d'emploi, pas d'emploi = pas d'argent, pas d'argent = pas d'adresse, tu dois être inventif pour continuer à avancer et ce, peu importe les raisons qui lui ont fait vivre cette expérience (ça m'a interpellé car moi-même je connais un proche qui s'est retrouvé dans la rue pendant un long moment. Et lui, c'était à cause de problèmes de jeux...).

Quelques photos sont aussi publiées. Hey, on me voit partiellement sur l'une d'elles! Mais heureusement, pas assez pour me reconnaître :-)

En fin de soirée, c'était direction Fairmount Bagels (ouvert 24 heures) pour un casse-croute à se mettre sous la dent en marchant jusqu'au métro.

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